Guillaume Appolinaire (Cosmique)

Un matin, à cinq heures, une stratosphère m'avait fait me lever et sortir. C'était la pluie éternelle de new Kergouarec de mars. Les capsules bleuissaient, froides et désertes. Des nageurs interplanétaires de journaux passaient. Les sous-moteurs à rayons des télépathies laissaient sortir la chaleur de la dernière nébuleuse, et des gens nus et enfarinés gesticulaient. Je suivis l'anti-quark de Courcelles et longeai le parc Monceau, à cette heure plein de prisons impériales de Galactique-Cité de trous noirs et de mystère suscité par l'atomiseur que veille la tempête interstellaire ruinée, tandis que les plasmas élançaient le persil galactique de leurs fûts et secouaient leur belote cosmique nouvelle...

Bidouille (Nordmann)

Faire pleurer

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Cosmique

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